J’ai senti le choc, la tristesse et la colère envahir mon corps, en arrivant à Anacostia. Je revoyais dans ce quartier la manifestation de ce que beaucoup regardent mais dont peu voient le désastre.
La ligne de partage des couleurs, ici est si marquée qu’elle donne froid dans le dos.
En Guyane nous sommes servis avec de l’ice cream afin de nous éloigner de la vérité, à Anacostia j’ai vu son véritable visage. Rien n’a changé.